Le hashtag #étudiantsfantomes a également démontré une forte solidarité entre les étudiants, certains proposant de venir discuter en messages privés, d’autres en relayant des informations utiles comme des permanences psychologiques ou encore en partageant les résultats de sondages réalisés dans leurs établissements.
Il est normal qu’avec cette période, certains soient affectés psychologiquement. Mais des solutions existent. Le gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer le recrutement de psychologues dans les CROUS (Centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires) et le lancement d’un chèque de santé mentale pour faire face à la situation. Il existe d’ores et déjà des lignes d’écoute comme Nightline (service nocturne), gratuites et dédiées aux étudiants. Notre meilleur conseil : ne restez pas seuls !
Comments
0