Dans cette période de recherche sur sa personnalité, les réseaux sociaux poussent les jeunes à se comparer sans arrêt. Une enquête interne d’Instagram parue en 2021 montre notamment « qu’un adolescent sur cinq dit qu’Instagram les fait se sentir moins bien ». Les raisons de ce mal être se trouvent dans plusieurs pratiques célèbres des réseaux sociaux. Parmi elles, on peut citer les challenges (#SummerBody, #A4) qui prônent des corps parfaits et très fins. Les filtres créent quant à eux un syndrome de dysmorphisme. En changeant complètement la forme du visage, ils créent un décalage psychologique entre comment les jeunes perçoivent leur corps et comment il est vraiment.