Mais l’argent n’est pas la seule cause. Selon le fondateur de Vert, il n’y a pas suffisamment de journalistes spécialisé.es dans la thématique “environnement”. Il est donc compliqué pour eux/elles de traiter ce sujet de manière concrète, pédagogique et porteuse de solutions, sans avoir les connaissances nécessaires et tout en ayant un ensemble de sujets
d’actualité à traiter en plus à côté.
Les feux en Amazonie, les inondations en Allemagne, les incendies de brousse en Australie, la saison record des ouragans en Atlantique,… ces nombreuses catastrophes naturelles ont été abordées par les médias, sans forcément les relier au changement climatique. “On devrait dire que telle catastrophe, tel événement naturel est la conséquence de ça”, précise
Loup Espargilière. Rendre ce lien visible avec l’urgence climatique serait déjà un premier pas pour les journalistes.